Swag Vs Bolos (v. 5.5.2) Разработано Waluu |
Vous avez envie de frimer ? Si c'st vous qui avez le plus de Swagg dites-le ! Les Boloss n'ont qu'à bien se tenir !
Vous êtes enfin autorisé à vous la jouer avec l'application des swaggueurs et swaggueuse !
"C'est pas pour le la péter mais moi j'arrive à soulever 10Kg d'un bras !"
"C'est pas pour me la péter mais moi j'ai déjà fait un marathon !"
"C'est pas pour me la péter, mais je mets le fil dans l'aiguille du premier coup !"
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Swag : De l’anglais swag, diminutif de swagger.
L’étymologie populaire indiquant que swag serait un acronyme signifiant Secretly We Are Gay (« Secrètement nous sommes gay ») ne repose sur aucune source sérieuse[1][2]. De manière plus générale, la plupart des acronymes suggérés pour ce mot sont vraisemblablement des rétroacronymes[2].
Selon des sources filiales (parfois) sûres, il ne serait plus cool d’être cool. Quelle qualité faut-il désormais avoir ? Qu’est-ce qui est mieux que le cool ? Le swag.
Le mot vient évidemment de l’anglais. Voir ici les définitions du Urban Dictionary, par exemple celle-ci : «Swag is a subtle thing that many strive to gain but few actually attain. It is reserved for the most swagalicious of people.»
Pour résumer : n’est pas swag qui le veut, mais qui l’est en tire gloire.
Remarque grammaticale : swag peut être tantôt susbstantif — «T’as du swag» —, tantôt adjectif — «Il est swag».
Bolos: Mot apparu dans la banlieue parisienne (Val-de-Marne ou Seine-Saint-Denis) dans les années 2000, d’origine incertaine : soninké, arabe ou verlan[1]. Le dictionnairedelazone cite l’hypothèse du linguiste Jean-Pierre Goudaillier selon laquelle bolos serait le verlan de lobos (« lobotomisés »)[2]. D’autres Référence nécessaire soutiennent que le mot est la contraction de bourgeois et lopette, le bolos étant alors un individu dont il est facile d’extorquer de l’argent.
Voilà une expression de plus en plus courante dans la bouche des ados. Même le comique Elie Sémoun l'a reprise dans son sketch sur « Julien et Kevina ». Apparu il y a un peu plus de cinq ans dans les cités, le mot a d'abord désigné un client pigeonné dans un deal de drogue, avant de passer le périph et de désigner désormais le « bouffon ».
Frimer : essayer de faire impression en trompant son monde / attitude affectée destinée à intimider.
Craner, faire le brave: prendre des airs / exagérer son propre mérite
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